Un petit moment que je n'ai pas écrit. Je devais m'occuper du chien et j'étais en phase observation.
Lui aussi d'ailleurs ! Cela se déroulait plutôt bien et je découvrai de plus en plus mon nouveau compagnon à 4 pattes.

Vous venez de remarquer : j'utilise l'imparfait. Il s'est déroulé un évenement qui m'a amené à ramener le chien. Beaucoup d'émotion et de tristesse, voilà pourquoi.

Cela faisait une semaine que nous faisions "vie commune". Des ballades en veux-tu en voilà, mise en place de règle pour lui faire comprendre qui était le maître (bah vi, il faisait 35kg tout de même), sociable au possible.. bref génial.
Une semaine aprés l'avoir adopté il y a eu rébellion. Un soir, il a décidé de monter dans la hiérarchie et donc à commencer à me grogner alors que je le caressais. Un peu plus tard, bien que je l'avais réprimandé à la voix sans hurler, il recommence et de façon plus menaçante. Affrontement : moi de la voix, lui de son grognement.
Et là, bêtement je me dis que je vais le sortir pour calmer. J'ai donc pris la laisse et soudain, il se dresse furieusement, me charge. Il ma sauté crocs dehors et à la figure. Tétanisée, j'ai laché la laisse en pensant avoir fait une connerie et réflexe, je lui ai parlé avec une voix toute douce. 2 secondes aprés, il était redevenu le chien que j'apprenais à connaître.

J'ai passé une nuit dans la peur et j'avais décidé de le ramener à la case départ, à contre coeur. Mais je ne pouvais plus avoir cette "confiance", si je puis dire ainsi, en cet animal et il l'aurait senti.

Le lendemain, en discutant longuement avec un éducateur chien, cette personne m'a elle-même confirmé qu'elle ne pouvait me laisser le chien car trop dominant. Le fait que ce soit un mâle et moi une "femelle", jargon animale bien sur, ne pouvait pas arranger la situation. Elle m'a également rassuré que je n'avais pas commis de faute et que j'avais respecté les règles de privilège à mettre en place.
En pleurs, je l'ai donc laissé bien que j'ai été choqué toute la journée de ce que j'avais vécu la veille dans mon sweet home. Ne sachant s'il était vacciné contre la rage (j'y allais la semaine qui venait), cela a été la course folle pour trouver qui en plus n'est pas remboursé.

Beaucoup d'émotion... pas l'envie d'écrire...Ceci explique mon absence.

En tout cas, même à mon pire ennemi, je ne souhaite pas ce genre d'aventures. C'est vraiment impressionnant.

Ca faisait 15 jours que cela me démangeait.
J'ai tenté de me raisonner, de me convaincre que ce n'était pas le moment, que c'était un caprice, que fallait pas fallait pas fallait pas... et je l'ai fait !

Dans un week-end pépère, je vous avais parlé de mon chien. Ce dernier était un croisé ratier de 13 ans que j'avais adopté en août 2005. Tout se déroulait bien et un soir de novembre, il a commencé à avoir des crises : quelque chose l'avait touché au cerveau et mon pépère en devenait tout fou. Je l'ai amené en urgence au vétérinaire et résultat : 30h après il décédait de cette attaque.

Bref, depuis je n'étais pas prête à reprendre un chien et sincèrement, avec la canicule qu'il y a eu en juillet, heureusement !

Mais là, depuis début août, l'idée m'est revenue en tête et j'ai longtemps pesé le pour et le contre pour décider que je devais attendre quelques mois.
J'ai également défini quel type de chien je voulais :

• un chien de petite taille (car je ne vis pas dans un chateau) - mais j'aime pas les petites tailles...-
• un chien de plus de 5 ans mais plus de 8 ans
• plutôt couleur noire ou chocolat
• un chien croisé de préférence - souvent cela donne un chouette mélange -
• à poil court
• sociable avec les chats - chez mon père, il y a ma chatte -
• et mes impératifs de vie : qu'il puisse rester seul + aime la voiture

Le résultat le voici :

Il est pas petit ; il est pas noir ou chocolat MAIS il a 5 an 1/2 et sait rester seul + la voiture. En plus,il est super sympa et a des bases d'éducation.

C'est lui qui m'a adopté.

Dans son box du refuge de gramont il était cool sans en plus. Quand on l'a sorti pour que je le vois dans le parc, c'est là qu'il m'a adopté. Il faisait son petit tour, ses besoins et me regardait du coin de l'oeil. Puis il venait vers moi, se frotter l'air de rien et continuer son chemin. Je lui ai lancé une balle : "ouais sympa" et a foncé vers moi se moquant complètement du jouet. Pourtant, il est très joueur.
Le soir même, je suis allée chez des amis et tout le monde a craqué tellement il était cool.

Je vous présente donc Bénabar !

Que l'artiste m'excuse mais je trouve ce nom marrant et il va très bien aussi à mon chien.
Bon j'aime aussi le chanteur et voici une chanson extraite de son dernier album (que j'ai bien sur éh éh).

Aprés avoir lu différents commentaires sur Paris Plage, j'y ai mis les pieds, le soir uniquement.
Oui en bonne méditerranéene que je suis, j'avoue que j'ai plutôt du mal à concevoir d'y aller en journée. La plage en bordure de Seine est à mes yeux impossible. Canicule ou non (même si le temps vire plutôt automne qu'été en ce moment), je préfère me faire dorer en bordure d'une grande étendue d'eau pour y sentir l'air marin me caresser la peau, entendre le ressac des vagues et supporter les enfants qui courent à un centimètre de ma serviette (grrr).

Aprés avoir diné au "jardin de pâtes" (33 Bd Arago, 13è), j'y suis donc allée avec une de mes collègues et j'ai apprécié : le plaisir de me promener sur les quais de Seine avec un Paris by Night (j'adoore), voir les gens aussi détendues, voir des pique-niqueurs fêtées un anniversaire ou encore des joueurs de pétanque, vraiment pas trop de monde.



<=  photo prise avec mon nouveau téléphone d'un café/buvette où nous nous sommes arrêtées boire une petite collation. Bon il faisait un peu frais avec la récente baisse de température mais c'était vraiment agréable.




Cela m'a presque donné l'impression que j'étais dans le Sud et rappelé les ballades avec mes amis, une fois le soleil couché, lorsque je vivais là-bas. Je regrette simplement le passage des bateaux avec leur méga spots et de ne pas avoir pris mon appareil photo.

Le livreur Coca-cola... vous vous souvenez de cette pub qui, avouons le, a fait rêver de nombreuses femmes ? Non ?
Petit flashback...

N'est ce pas mmhh ?! Et bien j'ai le même au boulot. D'ailleurs son surnom est tout naturellement l'instant coca, un vrai plaisir des yeux.

Vous en avez déjà croisé ?

Ce soir, j'avais rendez-vous à 20 h avec des collègues de travail dans un restaurant chinois dans le 13ème arrondissement.
Je pars donc du boulot à 20h (logique n'est-ce pas) pour m'y rendre. Je pouvais y être en dix minutes si le camion poubelle ne faisait pas sa tournée, si les voitures ne restaient pas garer en double file transformant la rue en véritable slalom digne des JO et bien sûr, si tout le monde ne venait pas manger dans ce quartier. Résultat des courses : 30mn le temps de trouver une place et encore... j'ai du jeter la voiture sur une place de livraison. A cette heure-là, plus rien n'est livré sauf des clients pour les restaurateurs environnants.

J'arrive enfin dans le restaurant et là surprise : une queue, impressionnante. Mes collègues étaient déjà installés et je n'avais donc qu'à doubler royalement toutes ces personnes qui attendaient. Je découvre un buffet central, une salle plutôt moyenne qui s'ouvre sur une véranda, couverte ce soir là. Une fois les bisous du bonsoir et les excuses du retard (oui je suis polie), je m'installe et cherche la carte. Et là on m'explique qu'il n'y a pas de carte, que c'est un self (le fameux buffet central) à volonté et tout cela pour le prix modique de 12,50 par tête.

Agréablement surprise, j'étais soupçonneuse de découvrir les différents plats proposés. Un peu déçue au début car j'adore la salade de soja au poulet ainsi que les vapeurs, je ne trouve pas vraiment mon bonheur. Mais en cherchant bien, j'y suis arrivée et me suis composée une belle assiette colorée, comme je les aime. En fait, au fur et à mesure que les plats se vident, de nouveaux arrivent assez rapidement et je vois enfin mes vapeurs apparaître.
Il y a vraiment de tout, même des plats ou trucs qui semblent immangeable à la vue et qui se révèle être d'assez bons goûts. Différentes types de salade sont proposées que vous pouvez assaisonnés selon votre goût. Les plats chauds le restent puisque sous les plats de l'eau bouillante le permet. Seuls les desserts hormis la salade de fruits ne m'ont pas vraiment tenté. Il y en avait surtout un qui était écoeurant à la vue et je n'ai pas tenté d'y laisser mes papilles.

Le bémol est que c'est un peu la cohue autour de ce buffet et la salle est réellement bruyante. Mais sincèrement, ce que j'avais dans l'assiette était trés bon et tant pis pour le le brouhaha. J'ai constaté aussi qu'à partir de 21h30, il n'y avait plus de queue à l'entrée. Maintenant, nous sommes au mois d'août et donc je ne sais pas du tout comment cela peut être une fois l'ensemble des parisiens reviendus (arf).

Voici les coordonnées si vous désirez découvrir ce restaurant : "Les jardins d'Asie", 78 rue Baudricourt, Paris 13è.

Idée sympa trouvée sur l'annuaire parisien  : envoyer un sms de cet établissement à vos amis pour leur donner rendez-vous. Le message est déjà pré-configuré avec l'adresse déjà inscrite et vous n'avez plus qu'à inscrire le numéro de téléphone. Pratique !

開動

Me voici sur canalblog.

Je viens de transférer le peu de billets écrits et je vais continuer à mettre en forme mon nouveau blog. Débutante au possible, je sens que je vais bien m'amuser...

Bon allez hop, je retrousse mes manches et plonge dans le moteur.

Alors ouiiii il faisait chaud là-bas.... affreux.

Une chaleur bien sèche qui brûle la peau, même avec un brin de vent ! Enfin ca fait tout de même du bien d'y aller, de pouvoir se baigner dans une piscine surtout en y entrant comme dans son bain !

Ca m'a permis de décompresser un tout petit peu mais bon, j'aurais bien aimé être en vacances une semaine de plus.

Le retour en train a été trés agréable, surtout pour mes yeux. En règle générale, je me retrouve toujours dans la ligne de mire d'un vieux, un mec plutôt bof ou bien des nanas.
Là, ce fut magique : un jeune homme avec regard de braise pétillant (miam), d'allure cool, un sourire enjôleur... Bref, un régal.En fait, il m'a rappelé Lui et l'association Lui + train = jolis souvenirs.
En plus, la lecture n'a fait qu'attiser mon imaginaire.
J'avais acheté à la gare "Métamorphoses" de Françoise Rey, une livre de nouvelles érotiques. Je l'ai fini avant d'arriver chez moi. Sympathique mais je préfère "La brûlure de la neige".

Le retour à la réalité le lendemain au boulot fût plutôt dur. Pourtant, mon esprit s'évadait parfois et se rêvait ce bel inconnu du train.

Maintenant, je peux le dire : J'aime bien les voyages en TGV !

Aujourd'hui c'est le grand jour : je quitte la canicule de Paris pour sentir celle de Marseille.

La différence : le maillot de bain sera au rdv et la mer aussi ! Je vais encore plus avoir le sentiment d'être en vacances ce soir et surement entendre les cigales qui chantent même 21h passées.

Comme je n'aurai pas le net pendant ces 4 jours, je ne ferais donc aucun billet.

En parlant de cigale, hier en me baladant prés de chez, j'en ai entendu. Je me suis demandée si je ne les avais pas rêvé. Bah non, il y avait bien des cigales. J'ai halluciné comme si j'entrai soudainement dans la 4ème dimension.

Enfin... le titre de ce billet n'est pas innocent car il y a une chanson de Cali qui se nomme ainsi et je la trouve assez amusante. En plus, la musique trés simple monte crescendo avec les cordes. Vraiment sympa ! Pourtant, c'est le témoignagne d'une rupture dont l'un des protagonistes en est soulagé. Cette chanson est issue de l'album "l'amour parfait", vous savez celui où vous avez peut être fredonné ou entendu "C'est quand le bonheur" ou encore "Elle m'a dit lalala lalalalaa Elle m'a dit".

Allez, écoutez-moi ces paroles.

Tchuss !

Je refais surface enfin. Même si je préfère ne pas prendre de vacances en été car je profite de l'absence de tous pour me remettre à jour au boulot.

Mais là, je n'en pouvais plus... vraiment. Une saturation phénomale, limite allergique !
Alors me voilà en vacances pour une semaine (pas plus pour l'instant) et heureuse de l'être.

J'en ai profité aujourd'hui pour aller à la Fnac, au frais. C'est un moyen comme un autre d'éviter cette canicule dont mon ventilo tente de résister désespéremment (ou alors c'est moi).
J'y ai donc trainé pendant deux heures et je me suis achetée plusieurs bouquins :

• deux pour le boulot (et je ne veux pas en parler)

• "Arissiel" de Lise Bourbeau

• "La brûlure de la neige" de Françoise Rey

Ce dernier, je l'avais noté depuis un moment et le voilà enfin dans mes mains. Je vais découvrir la plume érotique et reconnue de cet auteur. Pour l'instant, elle dessine le décor et le personnage principal. Et je n'ai pas encore lu la suite car j'ai commencé ma lecture dans un café et j'ai fait la connaissance d'une demoiselle fort sympa. Autant papoter que de bouquiner.
Même si nous étions abritées, la chaleur envahissante nous amenait à utiliser indéniablement son brumisateur. Ca amusait les serveurs qui n'hésitaient pas à nous taquiner. Bref, un bon moment.

C'est bon de ne pas se sentir stressée et de flaner. J'adore Paris durant cette période : pas trop de voiture, du soleil, les gens plus relax... vraiment agréable.

Comme ça je suis

Et

de ça je rève.

Encore une longue pause blog à l'horizon...